Nous étions assis sur ce vieux banc de bois Face à l’immensité bleue de la mer irritée Où les vagues sur les rocs se crevaient Dans une montagne d’eau qui hurlait aux abois
Ce ciel et cette mer qui à l’infini se confondent Et se rassemblent sur la ligne de l’horizon Aux lumières des fenêtres, au vol des temps Témoins des œuvres de l’éternel du monde
Au large, un voilier voguait entre mer et cieux En emportant des rêves dans son sillage Avec ses voiles tendues pour un divin voyage Pour disparaître dans la bague de l’étendue bleu
A haute voix, la mer s’éclatait à nos pieds Sous cet impénétrable azur où tout est amour A la pointe du cap où se meurt le jour Le monde était loin de nous dans cette immensité
Nous ne parlions plus, nous étions en paix Nos âmes chaviraient avec cette nature Et nos yeux fixaient l’infini de ce ciel pur Pour garder en nous cet inoubliable été
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